En ce mois d’octobre, avec les Équipes du Rosaire, nous sommes invités à prier le chapelet à l’église Saint Étienne les vendredis 6, 13, 20, 27 octobre, à 15h
Qu’est-ce que le rosaire ? Surnommé le « mois de Marie », le mois de mai est spécifiquement consacré à la Vierge. Il n’est pourtant pas, contrairement à ce qu’on pourrait imaginer, celui du rosaire, qui n’est autre que le mois d’octobre qui s’ouvre ce dimanche..Voici quelques explications pour mieux nous aider à entrer dans la prière.
Rappelons-nous d’abord que le rosaire est l’une des dévotions des fidèles depuis le XIIIe siècle. Plus précisément depuis 1208, lorsque Notre-Dame apparaît à saint Dominique de Guzman, fondateur de l’ordre des prêtres dominicains, et lui demande d’instituer la pratique du chapelet et de la faire connaître au monde entier. Peu à peu, la dévotion s’étend et se renforce.
La bataille de Lépante
Au XVIème siècle, alors que l’Europe est menacée par une invasion imminente des Turcs ottomans, le pape Pie V reçoit une révélation de la Vierge Marie : « le christianisme gagnera la bataille contre les envahisseurs grâce à la prière du rosaire ».
Confiant en cette promesse, le Pape exhorte les fidèles à prier le rosaire avec une foi encore plus intense. La situation est très grave : si les catholiques perdent la bataille, il est à craindre que l’Église ne soit écrasée par les envahisseurs.
Le 7 octobre 1571, les catholiques verront l’accomplissement de la promesse de Notre-Dame lors de l’une des batailles navales les plus emblématiques de tous les temps : la bataille de Lépante. À Rome, saint Pie V continue d’implorer l’aide divine par l’intercession de la Vierge Marie. Il cesse soudain toute activité et se dirige vers la fenêtre. Tous ceux qui l’entourent sont perplexes. Le silence se fait brièvement, jusqu’à ce qu’il soit rompu par une déclaration surprenante du Pape : « nous avons gagné à Lépante ! »
Sans attendre les nouvelles de la bataille, le Pape appelle tous les fidèles à se joindre à la célébration de la victoire miraculeuse de Juan d’Autriche, le commandant de la flotte catholique. Une procession solennelle a lieu dans les rues de Rome. Ce n’est que quelques jours plus tard que les émissaires de la flotte confirment la nouvelle qui avait déjà été annoncée par le Pape. Rapidement, la fête de Notre-Dame-des-Victoires est instituée le 7 octobre. Son nom est par la suite modifié en Notre-Dame du Rosaire par le pape Grégoire XIII. C’est justement en raison de l’immense importance de cette victoire pour la préservation de la foi catholique que la tradition considère le mois d’octobre comme le mois du rosaire.
Comment se récite le rosaire ?
La prière du rosaire se récite avec un chapelet. Issu de la dévotion mariale, le saint rosaire est comme une couronne de roses (d’où son nom : rosarium) que l’on offre à la Vierge Marie. Toutefois, Marie n’est pas l’objet de notre prière mais celle qui nous guide – à travers la méditation des mystères (qui sont les épisodes de la vie de Jésus) – vers son Fils.
« Le rosaire est ma prière préférée. C’est une prière merveilleuse. Merveilleuse de simplicité et de profondeur. Réciter le rosaire n’est rien d’autre que contempler avec Marie le visage du Christ. » (saint Jean-Paul II)
Qu’est-ce que la prière du rosaire ?
Il s’agit d’une prière récitée en quatre chapelets (initialement 3 provenant du psautier de Marie, le quatrième a été ajouté en 2002 par le pape Jean Paul II avec l’adjonction des mystères lumineux). Le rosaire nous permet de revenir sur les grands événements de la vie du Christ (appelés mystères) et de les accueillir dans notre cœur, comme le fit sa mère. En se laissant pénétrer par ceux-ci, avec l’intercession de la Vierge Marie, nous demandons au Seigneur de laisser éclore en nous les fruits de ces mystères.
Cette prière est donc un mélange d’oraison (récitation des prières) et de méditation (contemplation des mystères). Au-delà du rosaire médité, il est possible de porter une intention particulière à la récitation du rosaire ; nous pouvons ainsi faire un rosaire pour la paix, un rosaire pour les âmes du purgatoire, un rosaire pour les vocations …
Comment réciter le rosaire ?
Déroulé de la prière du rosaire : la prière reprend l’organisation du chapelet mais à chaque dizaine, nous associons un mystère (donc 5 mystères par chapelet).
Si nous pouvons, bien sûr, réciter le rosaire quand nous le voulons, nous n’avons pas toujours le temps de réciter cette belle et longue prière dans son intégralité. Les différentes catégories de mystères correspondent à des jours distincts de la semaine, il est donc possible de décider de méditer les mystères du jour simplement :
Mystères joyeux : lundi et samedi (ainsi que les dimanches de l’Avent)
Il s’agit d’une répartition qui peut nous aider à entrer dans une pratique régulière du rosaire ; la régularité des méditations d’un mystère permettant de s’en nourrir toujours davantage.
Nous n’avons jamais fini de faire le tour d’un mystère ! Mais nous pouvons également laisser l’Esprit Saint nous guider sur le choix des mystères que nous allons méditer.
On peut aussi prier le Rosaire à plusieurs :
Le Rosaire est une prière populaire et de nombreux chrétiens la récitent. Une façon de s’aider et de s’encourager à la prière est de le prier ensemble : avec d’autres paroissiens, lors des retransmissions du chapelet de Lourdes, avec la radio diocésaine Ecclesia …
Pourquoi réciter le Rosaire ?
Une prière pour apprendre à contempler le Christ et cheminer vers la sainteté :
« Le rosaire est la prière qui accompagne toujours ma vie. C’est aussi la prière des simples et des saints… C’est la prière de mon cœur. »
(Pape François)
« Le rosaire nous permet de contempler la vie du Christ et les moments les plus importants liés à la vie de sa Mère. C’est un merveilleux album de famille. Il passe de la joie à la souffrance et se termine par une lumière éblouissante : la Résurrection. »
(Père Guy Gilbert)
Une prière qui apporte la paix :
« Si vous voulez que la paix règne dans vos familles et dans votre patrie, récitez tous les jours le chapelet avec les vôtres : le Rosaire est le parfait résumé de l’Évangile et il donne la paix à tous ceux qui le récitent… Aimez le Rosaire, récitez-le tous les jours. » (saint Pie X)
Goudji aime souvent rappeler : « Je suis né à Paris à l’âge de 33 ans ! »
Quel plus bel hommage peut-il ainsi rendre à notre capitale, dans laquelle, depuis de nombreuses décennies, au pied de la colline de Montmartre, il travaille dans son atelier, laboratoire, d’où sont sortis d’aussi innombrables que chatoyants chefs d’œuvre d’orfèvrerie, incontournable référence à la production artistique contemporaine.
Paris ne serait-elle pas honorée de rendre officiellement hommage à l’un de ses plus talentueux ls d’aujourd’hui ? Depuis longtemps la question se pose.
La mairie du 5e arrondissement est donc à la fois heureuse et ère de proposer, en collaboration avec l’association « L’Art Sacré II », cette première grande rétrospective parisienne consacrée à Goudji, qui comblera les amateurs d’art comme les admirateurs de ce brillant artiste.
La Montagne Sainte-Geneviève n’a jamais été, dans son histoire, un foyer de création pour ces ciseleurs et graveurs qui façonnaient à Paris, depuis le haut Moyen-Âge, l’or et l’argent. Ils étaient établis en contre-bas, de l’autre côté de la Seine.
Ainsi, en offrant un noble écrin pour six semaines à Goudji, notre « montagne » ajoute un nouveau joyau à une parure déjà bien rayonnante !
Florence BERTHOUT,
Mairie du 5e arrondissement
Aujourd’hui s’ouvre à Paris, sous l’égide de la Mairie du Ve arrondissement, place du Panthéon, l’exposition rétrospective de mes œuvres. Quelques brefs mots pour dire l’essentiel. Les organisateurs, en accord avec différents partenaires dont la galerie Capazza, ont souhaité présenter une exposition qui montre les différentes facettes de mon travail, qui va de la création de pièces de formes à celle de pièces liturgiques, ou encore celle de bijoux à celle d’épées pour des académiciens. Arrivé d’URSS en France en 1974, sans connaître un mot de français, j’ai souhaité inscrire mon travail dans ce pays, – l’Acropole du monde -, ouvert à la pluralité de tous les imaginaires, qu’il a su placer, de manière féconde, sous l’horizon de la raison et du cœur. J’aime l’exemple de la France où vivent les plus nombreuses traditions artistiques, qui unissent, de manière proprement unique, le génie des bâtisseurs d’églises et de cathédrales, qu’elles soient romanes ou gothiques, Poussin, Watteau, Couperin, Delacroix, Monet, ou, plus près de nous, Proust, Ravel, Giono et Bonnard. J’ai voulu mettre mes pas dans leurs pas. Au gré de la centaine d’œuvres présentées se déroule une parade de l’esprit, qui vise à la beauté, dans la vérité : celle de la contemplation, où ce qui se voit s’e ace derrière l’unique vision nécessaire. Un mot encore pour remercier les nombreuses personnes, prêteurs ou galeries, diocèses ou musées, qui ont rendu cette exposition rétrospective possible, et à tous ceux qui ont permis le montage nal, agents techniques et éclairagistes du Génie civil de la Ville de Paris.
Exposition sous le haut patronage de Madame Hélène Carrère d’Encausse (†), secrétaire perpétuel de l’Académie française
Goudji – Catalogue en vente en octobre 2023
Editions du Net, 180 pages couleur, plus de 200 illustrations, prix indicatif : 35 euros
Textes et auteurs : GOUDJI à Paris
– Daniel Alcou e, conservateur général honoraire du patrimoine – Bernard Berthod, directeur du musée de Fourvière – Mgr Jean-Louis Brugues o.p., archiviste et bibliothécaire hémérite de la Sainte Eglise romaine – Mgr Matthieu Rougé, évêque de Nanterre – Jacques Santrot, Conservateur en chef du patrimoine (e.r.) – Goudji, journal
L’Ensemble Paroissial met à votre disposition un nouveau moyen de communication !
Le groupe WhatsApp « Catholiques en Uzège »
Grâce à ce moyen de d’information vous recevrez toutes les informations de « dernière minute » de notre Ensemble Paroissial mais aussi les appels ou les demandes urgentes de services telles que : l’accueil dominical, des demandes de covoiturage, etc… Pour vous inscrire au groupe WhatsApp, il vous faut simplement scanner le QR code ci-dessus !
Le modérateur du groupe est Philippe MUDRY, membre de l’Équipe d’Animation Pastorale
Du bon usage des groupes WhatsApp paroissiaux (source : ALEITIA)
Quelques bonnes pratiques pour un meilleur usage des groupes WhatsApp : pourquoi ne pas s’appuyer sur ce que nous enseigne la l’Ecriture ?
1 « UN TEMPS POUR TOUT »
« Il y a un moment pour tout, et un temps pour chaque chose sous le ciel : […] un temps pour se taire, et un temps pour parler », dit l’Ecclésiaste (Ec 3, 1-7). Il y a un temps pour échanger des messages et un temps pour le silence. Une invitation à éviter les messages tardifs !
2 « LENT À PARLER »
« Sachez-le, mes frères bien-aimés : chacun doit être prompt à écouter, lent à parler, lent à la colère », exhorte l’apôtre Jacques (Jc 1, 19). Une lenteur à parler qui suggèrerait de limiter les messages ou tout au moins d’y mettre un frein. Pour ce faire, plusieurs idées : Avant d’interpeller les membres du groupe, vérifier l’information ! Inutile de répéter une demande, un constat ou une information déjà relayés par une autre personne sur le groupe. Vérifier avant de publier ! Si la conversation ne concerne pas (ou plus) le groupe, la continuer en messages privés. S’abstenir d’envoyer des chaînes, des blagues, des vidéos ou des photos qui n’ont aucun rapport avec l’objet du groupe.
3 « NE LAISSEZ AUCUNE PAROLE BLESSANTE FRANCHIR VOS LÈVRES »
« Ne laissez aucune parole blessante franchir vos lèvres, mais seulement des paroles empreintes de bonté », dit saint Paul aux Ephésiens(Eph 4, 29). Cela concerne les paroles que l’on peut avoir à l’encontre d’une personne du groupe, ou à propos d’une personne en dehors du groupe. Aussi, si des avis divergents sont échangés dans le groupe, il est bon d’être attentif à rester correct et respectueux. La communication par messages n’étant pas la plus aisée puisqu’il manque tous les éléments non verbaux, ne pas hésiter à prendre doublement des pincettes pour exprimer un avis différent. De manière générale, il est bon de s’abstenir de critiquer sur WhatsApp, et plus précisément le curé ou tel ou tel prêtre, évêque ou le pape ! Un groupe WhatsApp n’est pas le lieu. Il est toujours plus constructif de les rencontrer directement pour exprimer son avis.
Patronne des Missions, patronne secondaire de la France, docteur de l’Église, sainte Thérèse de Lisieux est aujourd’hui mondialement connue. L’année jubilaire en son honneur a été officiellement lancée le 8 janvier 2023. À cette occasion, des Portes saintes ont été ouvertes dans les basiliques d’Alençon et de Lisieux. L’année 2023 célèbre à la fois les 150 ans de sa naissance et les 100 ans de sa béatification. Voici les dates à ne pas manquer pour honorer cette grande sainte qui a choisi « la petite voie » pour se frayer un chemin vers le Ciel.
2 JANVIER : ANNIVERSAIRE DE THÉRÈSE
Thérèse naît à Alençon le 2 janvier 1873. Son père Louis est horloger et sa mère, Zélie, est dentellière. Elle a quatre sœurs : Marie, Pauline, Léonie et Céline de quatre ans plus âgée qu’elle. Thérèse est la dernière enfant de la famille Martin.
4 JANVIER :BAPTÊME DE THÉRÈSE
Le baptême de Marie Françoise Thérèse Martin a eu lieu à l’église Notre-Dame d’Alençon, le 4 janvier 1873. Cet événement de sa vie est représenté dans une des cinq mosaïques de la crypte de la Basilique de Lisieux représentant les étapes importantes de la vie de Thérèse.
10 JANVIER : ENTRÉE DE THÉRÈSE EN NOVICIAT
Thérèse devient carmélite le 9 avril 1888. Son postulat prend fin le 10 janvier 1889, avec sa prise d’habit, qui marque son entrée en noviciat.
6 AVRIL : THÉRÈSE TOMBE MALADE
Alors que sa sœur Pauline entre au Carmel le 6 avril 1883, Thérèse, déchirée de « l’avoir perdue », vit une crise aiguë d’une maladie dont elle souffre depuis un certain temps, et qui devient aussi grave que mystérieuse. La famille la croit perdue : Thérèse a des hallucinations, elle ne reconnaît plus ses sœurs et ne s’alimente plus. Son père demande alors à Notre Dame des Victoires que ses paroissiens prient une neuvaine.
9 AVRIL :THÉRÈSE DEVIENT CARMÉLITE
Très jeune, Thérèse ressent un appel à la vie religieuse. Elle a 15 ans lorsqu’elle part en pèlerinage à Rome pour demander au pape Léon XIII la permission d’entrer au Carmel avant l’âge autorisé par le droit canon. Elle obtient cette dispense et devient carmélite le 9 avril 1888, alors que la communauté fête l’Annonciation.
29 AVRIL :100E ANNIVERSAIRE DE LA BÉATIFICATION DE THÉRÈSE
Frappés du nombre de témoignages de prières exaucées par Thérèse de Lisieux des fidèles du monde entier demandent qu’elle soit reconnue comme sainte. Le procès ordinaire de béatification, sous la responsabilité de l’évêque de Bayeux et Lisieux, Thomas-Paul-Henri Lemonnier, s’ouvre le 3 août 1910. 37 témoins viennent déposer sur la vie de Thérèse, dont neuf carmélites de Lisieux. La cause est introduite officiellement par le pape Pie X le 10 juin 1914. On retient deux guérisons miraculeuses. Thérèse est béatifiée le 29 avril 1923.
Du 29 au 30 avril 2023, le sanctuaire de Lisieux entend fêter cet événement en grande pompe, sous Sous la présidence de S.E. le Cardinal Aveline, Archevêque de Marseille.
3 MAI :THÉRÈSE PROCLAMÉE PATRONNE SECONDAIRE DE LA FRANCE
Le 3 mai 1944 le pape Pie XII proclame Thérèse patronne secondaire de la France, à l’égal de Jeanne d’Arc. En novembre 1944, il écrit au Carmel de Lisieux :
« Sainte Thérèse a répondu, ces dernières semaines, comme seuls peuvent le faire les grands amis de Dieu, à la confiance que nous mettions en elle en lui attribuant, de concert avec la sainte libératrice de Domrémy, le patronage de votre chère patrie, sous l’égide supérieure de Notre-Dame, dans le mystère de son Assomption. Cette délivrance étonnante dont la France a été l’objet est, à n’en pas douter, un de ces coups du Ciel, comme l’histoire en a enregistré plus d’une fois dans cette nation privilégiée pour ses gloires religieuses et sa vocation providentielle. »
Sainte Thérèse de Lisieux fait sa première communion à 11 ans, le 8 mai 1884. « Ah ! qu’il fut doux le premier baiser de Jésus à mon âme ! », se souvient-elle 11 ans plus tard en écrivant ses mémoires. La veille de cet événement, la future sainte a d’ailleurs fait trois belles résolutions.
13 MAI : THÉRÈSE GUÉRIE PAR LA VIERGE MARIE
Le jour de la Pentecôte, le 13 mai 1883, alors qu’elle est toujours très malade, la petite Thérèse prie Marie. Elle lui demande d’avoir pitié d’elle. Aussitôt, elle voit la statue de la Vierge lui sourire… Convaincue d’avoir été guérie par le sourire de Marie, elle décide de se placer sous sa protection. Elle a 10 ans. La vie reprend.
17 MAI : THÉRÈSE EST CANONISÉE
Les faits remarquables survenus après la béatification de la petite Thérèse ne manquent pas, et l’on en choisit deux : le cas d’une jeune Belge, Mlle Maria Pellemans miraculeusement guérie sur la tombe de Thérèse et celui d’une italienne, sœur Gabrielle Trimusi, brusquement soulagée après un triduum célébré en l’honneur de Thérèse. Le décret d’approbation des miracles est publié en mars 1925. Thérèse de Lisieux est canonisée le 17 mai 1925 en présence de cinq cent mille personnes par Pie XI qui l’appelle « l’étoile de son pontificat ».
9 JUIN : THÉRÈSE COMPOSE SON ACTE D’OFFRANDE À L’AMOUR MISÉRICORDIEUX
Nous sommes le 9 juin 1895. Thérèse est touchée par le récit de religieuses qui s’offrent en martyr à la justice divine, afin de détourner sur elles les châtiments promis aux coupables. Thérèse, quant à elle, pense qu’il faut s’offrir non pas à la justice mais à la miséricorde divine. C’est ce qu’elle fait le 9 juin 1895. Elle compose son Acte d’offrande à l’Amour Miséricordieux.
Le manuscrit de l’offrande de sainte Thérèse de Lisieux à l’amour miséricordieux de Dieu.
8 SEPTEMBRE :THÉRÈSE FAIT SA PROFESSION RELIGIEUSE
Le jour de sa profession, le 8 septembre 1890, la jeune religieuse prend pour nom : Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face. Et elle commence à écrire ses mémoires et elle poursuit l’écriture de poèmes, lettres, pièces de théâtres et de cantiques.
30 SEPTEMBRE : MORT DE THÉRÈSE
Depuis l’été 1897 Thérèse est victime de premières crises d’hémoptysie. C’est le début de la tuberculose. Thérèse meurt à l’âge de 24 ans, le 30 septembre 1897 à 19h20.
1ER OCTOBRE :FÊTE DE SAINTE THÉRÈSE DE LISIEUX
Canonisée le 17 mai 1925, Thérèse de Lisieux est fêtée le 1er octobre.
19 OCTOBRE : THÉRÈSE PROCLAMÉE DOCTEUR DE L’ÉGLISE
Le 19 octobre 1997, année du centenaire de sa mort, sainte Thérèse est proclamée par le pape Jean Paul II Docteur de l’Église.
6 NOVEMBRE : THÉRÈSE FAIT UN DON EXTRAORDINAIRE AU SACRÉ-CŒUR DE MONTMARTRE
C’est au cours de la messe au Sacré-Cœur de Montmartre, le 6 novembre 1887, que Thérèse Martin décide d’offrir son bracelet en or pour la fonte de l’ostensoir des fêtes.
14 DÉCEMBRE : THÉRÈSE PROCLAMÉE PATRONNE DES MISSIONS
Thérèse de l’Enfant-Jésus n’est jamais sortie de son couvent. Et pourtant, le 14 décembre 1927, cette jeune carmélite a été proclamée par le pape Pie XI patronne des missions à l’égal de saint François-Xavier.
25 DÉCEMBRE : CONVERSION DE THÉRÈSE À NOËL
La nuit de Noël 1886, elle retrouve le joyeux équilibre de son enfance et s’élance vers le Dieu-Amour qui l’a saisie. Elle explique le mystère de cette conversion dans ses écrits.
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